jeudi 17 décembre 2020

PROGRAMME DE DECEMBRE 2020

 PROGRAMME DE DECEMBRE 2020


En fonction des conditions sanitaires, le Cabinet de Groupe fonctionne au ralenti. Vous trouverez qq propositions et invitations pour les stages et ateliers, via les envois mailS.

Pour cette fin d'année, je vous propose un conte de Noël, spécialement pour nos amis Bretons...


LES PIERRES DE PLOUHINEC


Dans les merveilles de la nuit de Noël, Emile Souvestre mit par écrit les récits fantastiques des veillées des chaumières Bretonnes. C’est une croyance traditionnelle mettant en scène les pierres de Plouhinec et les animaux parlant à Noël qui est racontée ici avec talent.

 

Les pierres de Plouhinec

Charles Émile Souvestre (1806-1854)


Plouhinec est un pauvre bourg au-delà d’Hennebon, vers la mer. On ne voit, tout autour, que des landes ou de petits bois de sapins, et jamais la paroisse n’a eu assez d’herbe pour élever un bœuf de boucherie, ni assez de son pour engraisser un descendant des Rohans1.

Mais si les gens du pays manquent de blé et de bestiaux, ils ont plus de cailloux qu’il n’en faudrait pour rebâtir Lorient, et l’on trouve au-delà du bourg une grande bruyère dans laquelle les korigans ont planté deux rangées de longues pierres qu’on pourrait prendre pour une avenue si elles conduisaient quelque part.


C’était près de là, vers le bord de la rivière d’Intel, que demeurait autrefois un homme appelé Marzinn : il était riche pour le canton, c’est-à-dire qu’il pouvait faire saler un petit porc tous les ans, manger du pain noir à discrétion et acheter une paire de sabots le dimanche du laurier2.

Aussi, passait-il pour fier dans le pays et avait- il refusé sa sœur Rozenn a beaucoup de jeunes garçons qui vivaient de leur sueur de chaque jour.



Parmi eux, se trouvait Bernèz, brave travailleur et digne chrétien, mais qui n’avait apporté pour légitime, en venant dans le monde, que la bonne volonté. Bernèz avait connu Rozenn toute petite, quand il était arrivé de Pont-Scorff-Bidré pour travailler dans la paroisse, et elle l’avait souvent poursuivi avec la chanson que les enfants répètent à ceux de son pays :

Pont-Scorff-Bridé,
Chair de chèvre, Béé !

Cela leur avait fait faire connaissance, et, petit à petit, à mesure que Rozenn grandissait, l’attachement de Bernèz avait également grandi, si bien qu’un jour il s’était trouvé amoureux comme les Anglais sont damnés, je veux dire sans rémission.

Vous comprenez que le refus de Marzinn fut pour lui un grand crève-cœur ; cependant il ne perdit pas courage, car Rozenn continuait à le bien recevoir et à lui chanter, en riant, le refrain composé pour ceux de Pont-Scorff.

Plouhinec est un pauvre bourg au-delà d’Hennebon, vers la mer. On ne voit, tout autour, que des landes ou de petits bois de sapins, et jamais la paroisse n’a eu assez d’herbe pour élever un bœuf de boucherie, ni assez de son pour engraisser un descendant des Rohans1.

Mais si les gens du pays manquent de blé et de bestiaux, ils ont plus de cailloux qu’il n’en faudrait pour rebâtir Lorient, et l’on trouve au-delà du bourg une grande bruyère dans laquelle les korigans ont planté deux rangées de longues pierres qu’on pourrait prendre pour une avenue si elles conduisaient quelque part.


C’était près de là, vers le bord de la rivière d’Intel, que demeurait autrefois un homme appelé Marzinn : il était riche pour le canton, c’est-à-dire qu’il pouvait faire saler un petit porc tous les ans, manger du pain noir à discrétion et acheter une paire de sabots le dimanche du laurier2.

Aussi, passait-il pour fier dans le pays et avait- il refusé sa sœur Rozenn a beaucoup de jeunes garçons qui vivaient de leur sueur de chaque jour.

Parmi eux, se trouvait Bernèz, brave travailleur et digne chrétien, mais qui n’avait apporté pour légitime, en venant dans le monde, que la bonne volonté. Bernèz avait connu Rozenn toute petite, quand il était arrivé de Pont-Scorff-Bidré pour travailler dans la paroisse, et elle l’avait souvent poursuivi avec la chanson que les enfants répètent à ceux de son pays :

Pont-Scorff-Bridé,
Chair de chèvre, Béé !

Cela leur avait fait faire connaissance, et, petit à petit, à mesure que Rozenn grandissait, l’attachement de Bernèz avait également grandi, si bien qu’un jour il s’était trouvé amoureux comme les Anglais sont damnés, je veux dire sans rémission.

Vous comprenez que le refus de Marzinn fut pour lui un grand crève-cœur ; cependant il ne perdit pas courage, car Rozenn continuait à le bien recevoir et à lui chanter, en riant, le refrain composé pour ceux de Pont-Scorff.


Or, on était arrivé à la nuit de Noël, et comme l’orage avait empêché de se rendre à l’office, tous les gens de la ferme se trouvaient réunis, et, avec eux, plusieurs garçons du voisinage, parmi lesquels était Bernèz. Le maître de la maison, qui voulait montrer son grand cœur, avait fait préparer un souper de boudins et de bouillie de froment au miel ; aussi tous les yeux étaient tournés vers le foyer, sauf ceux de Bernèz qui regardait sa chère Rozennik.



Mais voilà qu’au moment où les bancs étaient près de la table et les cuillers de bois plantées en rond dans la bassine, un vieil homme poussa brusquement la porte et souhaita bon appétit à tout le monde.

C’était un mendiant de Pluvigner qui n’entrait jamais dans les églises, et dont les honnêtes gens avaient peur. On l’accusait de jeter des sorts sur les bestiaux, de faire noircir le blé dans l’épi et de vendre aux lutteurs les herbes magiques. Il y en avait même qui le soupçonnaient de devenir gobelinn à volonté.

Cependant, comme il portait l’habit des pauvres, le fermier lui permit de s’approcher du foyer ; il lui fit même donner un escabeau à trois pieds et une portion d’invité.

Quand le sorcier eut fini de manger, il demanda à se coucher, et Bernèz alla lui ouvrir l’étable où il n’y avait qu’un vieil âne pelé et un bœuf maigre. Le mendiant se coucha entre eux pour avoir chaud, en appuyant sa tête sur un sac de lande pilée.

Mais, comme il allait tomber dans le sommeil, minuit sonna. Le vieil âne secoua alors ses longues oreilles et se tourna vers le bœuf maigre.



– Eh bien, mon cousin, comment cela va-t-il depuis la Noël dernière que je ne vous ai parlé ? demanda-t-il d’un ton amical.

Au lieu de répondre, l’animal cornu jeta un regard de côté au mendiant.

– C’était bien la peine que la Trinité nous accordât la parole à la nuit de Noël, dit-il d’un ton bourru, et qu’elle nous récompensât ainsi de ce que nos ancêtres avaient assisté à la naissance de Jésus, si nous devions avoir pour auditeur un vaurien comme ce mendiant.
– Vous êtes bien fier, monsieur de Ker-Meuglant, reprit l’âne avec gaieté ; j’aurais plutôt droit de me plaindre, moi dont le chef de famille porta autrefois le Christ à Jérusalem, comme le prouve la croix qui nous a été imprimée depuis entre les deux épaules ; mais je sais me contenter de ce que les trois personnes veulent bien m’accorder. Ne voyez-vous point, d’ailleurs, que le sorcier est endormi ?




– Tous ses sortilèges n’ont pu encore l’enrichir, reprit le bœuf, et il se damne pour bien peu. Le diable ne l’a même pas averti de la bonne chance qu’il y aura ici près, dans quelques jours.

-      Quelle bonne chance ? demanda l’âne.

 – Comment, reprit le bœuf, ne savez-vous donc pas que, tous les cent ans, les pierres de la bruyère de Plouhinec vont boire à la rivière d’Intel et que, pendant ce temps, les trésors qu’elles cachent restent à découvert ?

 
– Ah ! je me rappelle maintenant, interrompit l’âne ; mais les pierres reviennent si vite à leur place, qu’il est impossible de les éviter et qu’elles vous écrasent si vous n’avez point, pour vous en préserver, une branche de l’herbe de la croix entourée de trèfle à cinq feuilles.

– Et encore, ajouta le bœuf, les trésors que vous avez emportés tombent-ils en poussière si vous ne donnez en retour une âme baptisée ; il faut la mort d’un chrétien pour que le démon vous laisse jouir en repos des richesses de Plouhinec.



Le mendiant avait écouté toute cette conversation sans oser respirer.

– Ah ! chers animaux, mes petits cœurs, pensait-il en lui-même ; vous venez de me faire plus riche que tous les bourgeois de Vannes et de Lorient ; soyez tranquilles, le sorcier de Pluvigner ne se damnera pas désormais pour rien.

Il s’endormit ensuite, et le lendemain, au point du jour, il était dans la campagne cherchant l’herbe de la croix et le trèfle à cinq feuilles.

Il lui fallut chercher longtemps et s’enfoncer dans le pays, là où l’air est plus chaud et où les plantes restent toujours vertes. Enfin, la veille du jour de l’an, il reparut à Plouhinec avec la figure d’une belette qui a trouvé le chemin du colombier.



Comme il passait sur la lande, il aperçut Bernèz occupé à frapper avec un marteau pointu contre la plus haute des pierres.

– Que Dieu me sauve ! s’écria le sorcier en riant; avez-vous envie de vous creuser une maison dans ce gros pilier ?

– Non, dit Bernèz tranquillement ; mais comme je suis sans ouvrage pour le moment, j’ai pensé que si je traçais une croix sur une des pierres maudites, je ferais une chose agréable à Dieu, qui me le revaudra tôt ou tard.

–Vous avez donc quelque chose à lui demander ? fit observer le vieil homme.

– Tous les chrétiens ont à lui demander le salut de leur âme, répliqua le jeune gars.


– Et n’avez-vous point aussi quelque chose à lui dire de Rozenn ? ajouta plus bas le mendiant.

Bernèz le regarda.

– Ah ! vous savez cela, reprit-il ; après tout, il n’y a ni honte ni péché, et si je recherche la jeune fille, c’est pour la conduire devant le curé. Malheureusement Marzinn veut un beau-frère qui puisse compter plus de réales que je ne possède de blancs marqués.

– Et si je te faisais avoir plus de louis d’or que Marzinn ne possède de réales ? dit le sorcier à demi-voix

– Vous ! s’écria Bernèz.

– Moi !

– Que me demanderiez-vous pour cela ?

– Rien qu’un souvenir dans tes prières.

– Ainsi, il n’y aurait pas besoin de compromettre mon salut ?

– Il n’y aurait besoin que de courage.

– Alors, dites-moi ce qu’il faut faire ! s’écria Bernèz, en laissant tomber son marteau ; quand on devrait s’exposer à trente morts, je suis prêt, car j’ai moins de goût à vivre qu’à me marier.

Quand le mendiant vit qu’il était si bien disposé, il lui raconta comment, la nuit prochaine, les trésors de la lande seraient tous à découvert, mais sans lui apprendre en même temps le moyen d’éviter les pierres au moment de leur retour. Le jeune garçon crut qu’il ne fallait que de la hardiesse et de la promptitude, aussi dit-il :

– Vrai comme il y a trois personnes en Dieu, je profiterai de l’occasion, vieil homme, et j’aurai toujours une pinte de mon sang à votre service pour l’avertissement que vous venez de me donner. Laissez-moi seulement finir la croix que j’ai commencé à creuser sur cette pierre ; quand il sera temps, j’irai vous rejoindre près du petit bois de sapin.

Bernèz tint parole et arriva au lieu convenu une heure avant minuit. Il trouva le mendiant qui portait un bissac de chaque main et un autre suspendu au cou.

– Allons, dit-il au jeune homme, asseyez-vous là et pensez à ce que vous ferez quand vous aurez à discrétion l’argent, l’or et les pierreries.



Le jeune homme s’assit à terre et répondit :

– Quand j’aurai l’argent à discrétion, je donnerai à ma douce Rozennik tout ce qu’elle souhaite et tout ce qu’elle a souhaité, depuis la toile jusqu’à la soie, depuis le pain jusqu’aux oranges.

– Et quand vous aurez l’or à volonté ? ajouta le sorcier.

– Quand j’aurai l’or à volonté, reprit le garçon, je ferai riches tous les parents de Rozennik et tous les amis de ses parents jusqu’aux dernières limites de la paroisse.

– Et quand vous aurez enfin les pierreries à foison ? acheva le vieil homme.

– Alors, s’écria Bernèz, je ferai tous les hommes de la terre riches et heureux, et je leur dirai que c’est Rozennik qui l’a voulu.

Pendant qu’ils causaient ainsi, l’heure passait et minuit arriva. À l’instant même, il se fit un grand bruit sur la lande et l’on vit, à la clarté des étoiles, toutes les grandes pierres quitter leurs places et s’élancer vers la rivière d’Intel. Elles descendaient le long du coteau en froissant la terre et en se heurtant comme une troupe de géants qui auraient trop bu ; elles passèrent ainsi pêle-mêle à côté des deux hommes, et disparurent dans la nuit.




Alors le mendiant se précipita vers la bruyère suivi de Bernèz, et, aux places où s’élevaient un peu auparavant les grandes pierres, ils aperçurent des puits remplis d’or, d’argent et de pierreries qui montaient jusqu’au bord.

Bernèz poussa un cri d’admiration et fit le signe de la croix ; mais le sorcier se mit aussitôt à remplir ses bissacs, en prêtant l’oreille du côté de la rivière.

Il finissait de charger le troisième, tandis que le jeune homme remplissait les poches de sa veste de toile, lorsqu’un murmure sourd comme celui d’un orage qui arrive se fit entendre au loin. Les pierres avaient fini de boire et revenaient prendre leurs places.

Elles s’élançaient, penchées en avant comme des coureurs, et brisaient tout devant elles. Quand le jeune homme les aperçut, il se redressa en s’écriant :

– Ah ! Vierge Marie, nous sommes perdus !

– Non pas moi, dit le sorcier, qui prit à la main l’herbe de la croix et le trèfle à cinq feuilles, car j’ai ici mon salut ; mais il fallait qu’un chrétien perdît la vie pour m’assurer ces richesses, et ton mauvais ange t’a mis sur mon chemin ; renonce donc à Rozenn et pense à mourir.

Pendant qu’il parlait ainsi, l’armée de pierres était arrivée; mais il présenta son bouquet magique et elle s’écarta à droite et à gauche pour se précipiter vers Bernèz !

Celui-ci, comprenant que tout était fini, se laissa tomber à genoux et allait fermer les yeux lorsque la grande pierre qui accourait en tête s’arrêta tout à coup, et, fermant le passage, se plaça devant lui, comme une barrière pour le protéger.

Bernèz, étonné, releva la tête, et reconnut la pierre sur laquelle il avait gravé la croix ! C’était désormais une pierre baptisée, qui ne pouvait nuire à un chrétien.

Elle resta immobile devant le jeune homme jusqu’à ce que toutes ses sœurs eussent repris leur place ; alors, elle s’élança comme un oiseau de mer pour reprendre aussi la sienne, et rencontra sur son chemin le mendiant que les trois bissacs chargés d’or retardaient.

En la voyant venir, celui-ci voulut présenter ses plantes magiques ; mais la pierre devenue chrétienne n’était plus soumise aux enchantements du démon, et elle passa brusquement, en écrasant le sorcier comme un insecte.



Bernèz eut, outre ce qu’il avait recueilli lui-même, les trois bissacs du mendiant, et devint ainsi assez riche pour épouser Rozenn et pour élever autant d’enfants que le laouennanik4a de petits dans sa couvée.


1. En Basse-Bretagne, on appelle les porcs, mab-Rohan, fils de Rohan; à Saint-Brieuc, on les traite simplement de messieurs.

2. Le dimanche des Rameaux est appelé le dimanche du laurier, sul el lauré, parce que, ce jour-là, on distribue, à l’église, du laurier bénit.

3. Les habitants de Pont-Scorff-Bidré ou Bas-Pont-Scorff élèvent un grand nombre de chèvres, ce qui a fait supposer qu’ils en mangeaient beaucoup.

4.Laouennanik, petit joyau, est le nom breton du roitelet.

 




samedi 21 novembre 2020

QUEL ESPOIR ME FAIT VIVRE ?

 

QUEL ESPOIR ME FAIT VIVRE ?



PARIS samedi 27 et dimanche 28 février 2021

STAGE avec Jacqueline Kelen

Quel espoir me fait vivre ?

 "Si tu n'espères pas l'inespéré,  tu ne le trouveras pas. "

 Héraclite, Vème s avant J-C




Est-ce le propre de l'être humain que d'espérer ?  D'aspirer à des jours meilleurs voire à la vie éternelle ? Ou n'est-ce là qu'une forme de rêverie et d'illusion pour oublier le tragique de la condition terrestre ?

On dit que "l'espoir fait vivre". Encore faut-il en préciser la nature et l'objet : à quoi s'applique et œuvre celui qui espère ? Vers quel horizon se tourne-t-il ?

Il conviendra de distinguer l'espoir, relatif aux choses terrestres et temporelles, de l'espérance qui est une vertu chevaleresque autant que chrétienne. On n'omettra pas le désespoir et l'absurde, les faux espoirs et les espoirs déçus.

Pour mener cette réflexion, on s'appuiera sur des philosophes et des écrivains : Socrate, Kierkegaard, Péguy, Camus, Beckett... On parlera du récit courtois écrit par René d'Anjou en 1457, Le livre du Cœur d'amour épris, ainsi que du magistral roman de Dino Buzzati, le désert des Tartares (1940).

Ce thème interroge chacun sur le sens de sa vie, sur son engagement en ce monde, et sur sa quête spirituelle.

Productrice d'émissions à France Culture pendant 20 ans, Jacqueline Kelen est écrivain et a publié une cinquantaine de livres consacrés aux grands mythes, aux figures mystiques et à la vie intérieure. Elle a reçu le Prix de la liberté intérieure 2020 pour son ouvrage, Histoire de celui qui dépensa tout et ne perdit rien, publié aux éditions du Cerf.


Lieu : Cabinet de Groupe Nation, 18, bis av Philippe Auguste – 75011 Paris

Date et heure : samedi 27 et dimanche 28 février 2021 de 10h à 17h

Réservations auprès de Patricia au 06.15.83.50.18 ou mieux par retour mail : cabnation@free.frhttp://cabinetgroupenation.blogspot.com/ - attention places limitées.

Participation : 170 €


mardi 10 novembre 2020

PROGRAMME DE NOVEMBRE 2020

 

PROGRAMME DE NOVEMBRE 2020



« L’homme est en guerre contre la nature, s’il gagne il est perdu ». Hubert Reeves

 

Attention les stages sur les Etats Modifiés de Conscience ont été reporté voir toutes les infos :

https://etatsmodifiesdeconscience.blogspot.com



Samedi 7 et dimanche 8 Novembre à Paris – Stage maintenu, mais complet.

Totalement exceptionnelle formation en « médecine fréquentielle – thérapie globale et informationnelle ».

Une formation déterminante sur l'origine et le traitement des maladies

« La réalité est énergétique, l’univers est constitué à la fois de matière, d’énergie et d’information ». Nicolas Tesla



Préparez-vous à découvrir les causes des maladies ignorées par le corps médical. Avec une approche tout à fait novatrice,  concernant un certain nombre de maladies invalidantes telles que la maladie de Lyme, la fibromyalgie, la fatigue surrénalienne, le syndrome de fatigue chronique, les déséquilibres hormonaux, la thyroïdite de Hashimoto, la sclérose en plaques, la dépression, les troubles neurologiques, l’inflammation chronique, les maladies auto-immunes, les problèmes de glycémie, la colite, etc. Des techniques énergétiques, alchimiques et fréquentielles de régénération de l’âme et de l’esprit, souvent soumis au stress et à la souffrance vous seront proposées. Le recours à des biotests permet de se libérer de son mental et de pister le cheminement du patient ayant conduit à son déséquilibre.

Avec Gilles Huillard, thérapeute, ingénieur de formation, il a construit une démarche structurée et ouverte d'un système d'harmonisation global de la personne sur tous ses plans (physique, psychique, émotionnel).

Les points essentiels de cette formation sont :

·        la vision globale multidimensionnelle de l'être humain,

·        l'approche systémique intégrative (ex : médecine chinoise traditionnelle)

·        la recherche de la cause première du déséquilibre,

·        l'accès aux informations contenues dans les champs d'informations de la personne.



Cette formation est proposée sur 3 niveaux :

1)  Module 1 les 7 et 8 novembre 2020 – présentation des notions nécessaires d'énergétique, de quantique, de biologie et d'alignement du thérapeute

2)  Module 2 les 16 et 17 janvier 2021, détoxication globale avec le dégagement des mémoires à l'aide de protocoles,

3)  Module 3 les 6 et 7 mars 2021, intégration du protocole général,

Les modules 2 et 3 sont interdépendants.

A Paris, Annecy, Genève, Monoblet (Gard).

Lieu : La villa des créateurs, 9 rue Ganneron 75018 Paris, M° Place de Clichy, Bus 30, 54, 68, 74,81, 95)

Date et horaires : Samedi 7 et 8 Novembre 2020  (9h30 – 18h30)

Inscriptions auprès de Christian GALLEREY, Tel : 06.10.49.12.04 – ou par mail : cgallerey@intuitulink.fr

Participation : 340,00 € par module.

Les frais d'hébergement et de restauration ne sont pas compris.

Un acompte de 100,00 € est demandé pour confirmer l'inscription (voir bulletin en pièce jointe).

La fourniture d'un matériel de tests spécifiques lors du 2ème module est facturée 200,00 €.

Si vous le souhaitez je peux vous envoyer une interview de Gilles si vous le souhaitez, qui explique bien ce qu’il propose durant ces 3 WE de formation.

Les autres formations :

ANNECY : Balcons du Lac à Sévrier – 12 et 13 septembre 2020, 21et 22 novembre 2020, 9 et 10 janvier 2021 – COMPLET

GENEVE : 3 et 4 octobre 2020, 28 et 29 novembre 2020, 30 et 31 janvier 2021- COMPLET

MONOBLET (Gard) : St Chamand - 24 et 25 octobre 2020, 5 et 6 décembre 2020, 13 et 14 février 2021

 


Samedi  14  novembre  2020  à  18  heures : " Accepter
le Conflit pour Aimer "  Conférence annulée

Une conférence de Jean-Luc Rosenstein - Spiritualité et astrologie


Nous n’aimons guère le conflit au niveau de notre personnalité, en général.

Il est pourtant une proposition de nous élever, d’aimer de façon plus juste et plus inclusive.

Cette confrontation est l’opportunité d’intégrer une part d’humanité de plus.

Nous pourrons expérimenter cela en méditation guidée.

Lieu : Cabinet de Groupe Nation au 18 bis, av. Philippe Auguste 75011 Paris- Merci de téléphoner pour avoir le code d’entrée.
Entrée : 10 euros - conférence ouverte à tous sans inscription préalable.

Nous appliquerons bien sûr avec soin les précautions sanitaires.
Renseignements par téléphone : 06 21 99 51 56  ou par courriel : jl.rosenstein@sfr.fr
Et aussi les informations des sites :

http://astrocroissance.chez.com et Facebook : jeanluc.rosenstein



Samedi 14 Novembre 2020 : atelier de 18h à 19h30

 Conférence-atelier de Tarologie – Contactez directement Katherine

La voie du MAT


Avec Katherine Lamour thérapeute psycho-énergéticienne et tarologue au Cabinet de Groupe Nation. Elle a été accompagnatrice en actes psychomagiques auprès d'Alejandro Jodorowsky, qui a restauré le Tarot de Marseille. 

Présentation de la conférence :

Quel est le message essentiel du MAT ?

En tirant une carte en public, suivez votre voie, ici et maintenant.

Lieu : Cabinet de groupe Nation, 18, bis av. Philippe Auguste – 75011 Paris

Date et heure : le samedi 14 Novembre de 18h à 19h30

Renseignements et inscriptions : Auprès de Katherine Lamour au 06.38.82.77.07 ou par mail : ab.soame@gmail.com  

Pour en savoir plus : 

www.absoame.com – 

https://www.facebook.com/klolamour

https://www.facebook.com/ABSoame

prochain atelier-conférence : le 5 décembre

Participation : 15 euros l'atelier 



Dimanche 15 Novembre 2020 : atelier de 10h à 18h

 Atelier Chakra n°1 avec le Tarot – Contacter directement Katherine

Muladhara chakra, le chakra racine

Avec Katherine Lamour thérapeute psycho-énergéticienne et tarologue au Cabinet de Groupe Nation. Elle a été accompagnatrice en actes psychomagiques auprès d'Alejandro Jodorowsky, qui a restauré le Tarot de Marseille. Elle est aussi professeur de yoga Nidra.

 

Ce premier Chakra, est un carrefour énergétique situé au coccyx et fleurissant aux organes génitaux.  Il est la racine de notre verticalité qui nourrit la kundalini.

Il est lié, au niveau corporel, aux surrénales, aux reins, aux systèmes d'élimination (urinaire, colon …) et au bas de la colonne vertébrale. 

Il correspond, au niveau mental, à notre cerveau reptilien utile à la survie, à la sécurité, à la perpétuation de l'espèce et à la mobilisation de l'énergie vitale.


Les dysfonctionnements internes liés à ce chakra sont par exemple : l'insécurité matérielle, la peur, l'hypertension, les conflits de territoires, les addictions…

Ce chakra pose la triple question : de l'enracinement, de la nourriture et de  l'élévation de conscience en rapport à nos besoins et à notre place sur Terre.

Présentation de l'atelier :

Il s'agit d'identifier la cible à travailler en lien avec le chakra, de comprendre les causes et les effets des obstacles, de les libérer et de re-dynamiser le chakra. La journée est rythmée, par des lectures du tarot, des méditations avec le yoga nidra et des exercices collectifs symboliques. Un bilan est réalisé en fin de journée.

 

Lieu : Cabinet de groupe Nation, 18, bis av. Philippe Auguste – 75011 Paris

Date et heure : le dimanche 15 Novembre de 10h à 18h

Renseignements et inscriptions : Auprès de Katherine Lamour au 06.38.82.77.07 ou par mail : ab.soame@gmail.com  - Prochain atelier le 15 Novembre. Pour en savoir plus : www.ab-soame.com - https://www.facebook.com/klolamour - https://www.facebook.com/ABSoame

D’autres ateliers sur les chakras vous sont proposés les :

Chakra n°2 le 13/12, chakra n°3 le 10/01, chakra n°4 le 21/02, chakra n°5 le 21/03, chakra n°6 le 18/04, chakra n° 7 le 23/05, chakra n°8 le 27/06.

Participation : 90 euros l'atelier. Maximum 5 personnes



Samedi 21 Novembre 2020 :

 "Soyez l'alchimiste !"  - Atelier maintenu

La couleur OR nous aidera à renforcer notre pouvoir afin de traverser le tumulte.

Je vous en dis plus par mail formaté dès ce soir... si ça vous va?

Catherine BRIAND

2008 - 2018, "Le soi tissé" a 10 ans!  

Artiste thérapeute transculturel/ Psycho praticienne holistique.

Membre Actif Accrédité par la Ffat inscrit sous le numéro: 151015


06 72 21 64 42 / 01 48 84 61 50
www.le-soi-tisse.fr




Samedi 21 Novembre 2020 :

 "Soyez l'alchimiste !"  - Atelier maintenu

La couleur OR nous aidera à renforcer notre pouvoir afin de traverser le tumulte.

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Catherine BRIAND

2008 - 2018, "Le soi tissé" a 10 ans!  

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